Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
29 avril 2015 3 29 /04 /avril /2015 11:04

Comme annoncé dans l'article précédent, Caligari fait ses valises et déménage vers un nouveau site dont l'esprit restera exactement le même, mais sans publicités tapageuses et avec une interface nettement plus agréable d'utilisation pour le petit administrateur que je suis.

 

Pour en savoir plus, rendez-vous donc à l'adresse

 

 

http://caligari.fr

 

 

 

Et sur ce, pour la dernière fois sur Over-Blog, je vous laisse.

Partager cet article
Repost0
23 avril 2015 4 23 /04 /avril /2015 23:23

 

Bon, ça ne me met vraiment pas en joie, mais je vais une fois encore vous raconter ma vie. Pendant quelques jours, mon cher et tendre blog n'était pas accessible. Du moins, son « tableau de bord » ne l'était pas. Le blog fonctionnait toujours mais il m'était impossible d'y faire quoi que ce soit. Over-Blog se contentait d'un message me signifiant que j'étais en train de basculer vers le « nouvel Over-Blog » et que je serai averti dès que l'opération serait terminée.

 

La moindre des choses aurait été de me prévenir avant plutôt que de me mettre en face du fait accompli. La moindre des choses aurait aussi été, tout bêtement, de me demander mon avis. Il faut comprendre que la nouvelle interface d'Over-Blog est une catastrophe industrielle. À faire pâlir de jalousie les chargés de communication de la Wii U ou les concepteurs ergnonomiques de Windows 8. Aussi m'abstenais-je sagement de faire la moindre mise à jour, me contentant à merveille de la précédente interface.

 

Mais chez Over-Blog, on ne l'entend pas de cette oreille. On n'aime pas que l'utilisateur fasse ce qu'il veut, ou du moins ce qui l'arrange. On est ici pour imposer des choses aux gens, sinon ce n'est pas drôle. C'est pourquoi l'hébergeur a décidé de rendre « obligatoire » la migration de tous ses blogueurs. Et moi, ça ne me convient pas. Parce que cette nouvelle interface est juste trop moche, trop contraignante, trop inconfortable pour un blog de loisirs. Alors tant pis, je casse la tirelire et je m'offre un nom de domaine. Et je m'en vais d'ici.

 

En attendant de vous donner la nouvelle adresse du nouveau Caligari, je vous fais un peu de teasing : son premier billet critique sera consacré à La Comtesse perverse, de Jess Franco, que j'ai regardé ce soir. Autrement dit, un film de cul. Ah ben bravo !

 

D'ici là, et sur ce, je vous laisse.

Partager cet article
Repost0
31 octobre 2014 5 31 /10 /octobre /2014 10:04

jamie-lee-curtis-mar-5-2011-2-600.jpg

Pas d'article, pas de critique depuis la mi-septembre, le rouge me monte au front, puis redescend bien vite parce que bon, ça va, c'est pas l'usine non plus ! Je n'ai pas vu de films d'épouvante, je n'ai même quasiment pas vu de films tout court depuis un mois, voilà tout. Pourquoi ? Parce que je me refais tout Buffy et que ça prend un temps fou, tout de même. J'en ferai peut-être un article, cela dit.

 

En attendant, un petit mot pour souhaiter à tout ceux qui liront cette page (si possible le 31 octobre, après ça ne sert plus à grand chose) un joyeux Halloween !


Sur ce, je vous laisse. Et vive la citrouille libre.

Partager cet article
Repost0
4 septembre 2014 4 04 /09 /septembre /2014 09:44

97937892.jpg

 

Je ne m'en étais pas rendu compte puisque j'utilise Firefox et Adblock, mais voilà, la vérité m'a hélas sauté aux yeux, Over-Blog sature dorénavant ses blogs de publicités moches, agressives et idiotes. Pourquoi me suis-je emmerdé à soigner un tant soi peu la présentation de mes blogs (car j'en ai plusieurs) pour me retrouver avec des fenêtres dansantes et colorées qui leur chient dessus de partout ? La question est posée.

 

Naturellement, Over-Blog explique fort gentiment à ses utilisateurs qu'il existe un moyen très simple de supprimer ces publicités : cracher au bassinet. Donner du flouze. Faire pleurer le larfeuille. Sauf que je n'ai ni les moyens ni l'envie de donner des sous à Over-Blog. Si je devais payer pour avoir un site, je n'irais pas chez Over-Blog. Ses fonctionnalités minimales, sans parler de l'incessant bordel de sa nouvelle interface, n'en font franchement pas un hébergeur de qualité.

 

Donc, voici mon conseil pour supprimer les publicités : les bloqueurs de pub. Ad-block est très efficace, et je sais qu'il en existe un équivalent pour Chrome. Pour Internet Explorer ou Opera je n'en sais rien, mais j'imagine tout de même qu'il existe des choses.

 

Je précise que je ne gagne pas UN sou avec mon petit Cali Gari, et que je n'ai d'ailleurs jamais eu la prétention d'en gagner. Toutes ces publicités dégueulasses que vous voyez en train de pourrir mon blog ne rapportent de pognon qu'à Over-Blog. Vous me direz qu'il faut bien qu'ils fassent leur beurre, ces pauvres gens. Certes. Mais d'une manière aussi invasive, et sans respect pour l'esthétique des blogs qu'ils hébergent ? Non.

 

Au-delà des publicités, Over-Blog devrait peut-être se souvenir que ce sont les blogueurs qui lui rapportent de l'argent. Pas de blogueurs, pas de blogs, pas d'Over-blog. Un minimum de sens de la concertation ou de jugeotte esthétique serait donc probablement le bienvenu. En attendant, je reste ici parce que j'ai la flemme de déménager mes cartons, mais le mépris que ce genre de méthode m'inspire n'en demeure pas moins intégral et définitif.


Sur ce, je vous laisse !

 

Partager cet article
Repost0
24 janvier 2012 2 24 /01 /janvier /2012 00:39

megaupload-FBI-e1327029399105.jpg

 

Résumé de l'histoire : les grands manufacturiers de cinéma et de musique sont les souffre-douleurs d'une meute de voleurs sanguinaires qui s'échangent des films ou des disques plutôt que d'aller poliment les acheter au prix fort dans les officines prévues à cet effet. En réaction, le FBI se précipite à leur rescousse et ferme un site d'hébergement utilisé partout dans le monde, y-compris légalement par des entreprises ou des particuliers qui n'ont rien à se reprocher.

 

Comme certains méchants internautes l'ont fait remarquer, il a donc été plus aisé pour le gouvernement américain de faire fermer Megaupload que le cachot sordide et inhumain qu'est Guantanamo. C'est qu'on a le sens des priorités, aux Etats-Unis ! Et à l'Elysée aussi, depuis laquelle monsieur notre encore Président s'est jeté sur son service de communication pour applaudir des deux mains cette merveilleuse et totalement unilatérale initiative américaine, rapidement relayé par son ministre de la Culture qui, toute sa vie, a vécu sur le dos de l'art et ne peut de fait décemment pas comprendre que cela puisse servir à autre chose qu'à fabriquer de l'argent.

 

Les « majors », comme on dit, accusent Megaupload d'un manque à gagner de plusieurs centaines de millions de dollars. Elles sont convaincues que tout le monde achèterait leurs dvds et leurs disques hors de prix si le téléchargement pirate n'existait pas. Que feront-elles le jour où elles constateront qu'en fait, les braves vaches à lait que sont censés être les consommateurs préfèreront se passer de regarder ou d'écouter leurs productions au rabais plutôt que de leur consacrer le moindre centime ? Elles demanderont au FBI de rendre obligatoire l'achat de leurs produits ?

 

En attendant, il existait des sites qui proposaient en partage des oeuvres jamais éditées en dvds ou introuvables sur le marché français. Ils se voulaient responsables, retiraient les liens de partage dés que l'oeuvre était mise sur le commerce, ce qui n'arrivait que rarement, et faisaient ainsi survivre un cinéma dont les majors n'ont jamais respecté le caractère artistique. Ces sites, que je ne cite pas pour ne pas leur créer de problèmes, se retrouvent aujourd'hui avec des liens morts sur les bras, obligés de fermer leurs portes en attendant des jours meilleurs.

 

Le cinéma d'horreur et d'épouvante est particulièrement concerné par ce drame, car c'en est un. Des milliers de films n'ont jamais bénéficié d'un transfert sur support dvd, et ne bénéficieront probablement pas plus d'un transfert sur support blu-ray, en attendant le nouveau format que nous préparent les marchands de technologie pour nous faire encore un peu plus cracher au bassinet. — Mais pas question pour autant de se les partager. Pas question de les héberger. Pas question de leur permettre d'exister encore. Les majors considèrent que de l'argent qui n'est pas gagné, c'est de l'argent perdu. Tout ce qu'on ne leur donne pas, on le leur vole. Elles considèrent que le monde leur appartient, et le FBI leur donne raison.

 

Megaupload n'a rien d'une entreprise de doux philanthrope, c'est évident. Mais les bénévoles, les passionnés, les illuminés de cinéma qui utilisaient les services de cette société, sont eux de véritables humanistes. Tandis que les majors, les grands studios hollywoodiens, les producteurs tout-puissants, les tortionnaires de la différence, les raboteurs de la créativité, ne valent guère mieux que les rats dont ils partagent le mode de vie et les appréciations esthétiques.

 

Il va de soi qu'ils mènent une guerre perdue d'avance, le monde finira par leur marcher dessus et les forcera à s'adapter, à concéder. Mais en attendant, la petite bataille qu'ils se vantent d'avoir gagné produit de bien innocentes victimes.


Sur ce, je vous laisse.

 

Partager cet article
Repost0
27 novembre 2009 5 27 /11 /novembre /2009 05:28


Autant vous le dire tout de suite : cet article est une fumisterie. Comme je n'ai pas regardé de films d'horreur ces derniers jours, et comme je n'aime pas vraiment rédiger un texte en me basant uniquement sur mes souvenirs, je me suis dit que j'allais parler d'un acteur. Histoire de ne pas délaisser trop longtemps mon blog alors qu'il vient à peine de voir le jour. Et puis après tout je suis un amoureux de Bruce Campbell, je compte parmi cette foule de fanatiques irrationnels du King, alors pourquoi pas ?

Si je dis « irrationnel », c'est parce que Bruce Campbell suscite une fascination chez bon nombre d'amateurs du genre sans que rien au sein de sa carrière ne puisse réellement le justifier. Lui-même en a d'ailleurs parfaitement conscience, et le démontre avec beaucoup d'humour et d'autodérision dans son dernier film, My name is Bruce, dans lequel il se représente comme une sorte de demi-loser enfermé dans des rôles de série Z et poursuivi par des fans en furie qu'il traite avec un mépris et une arrogance digne des pires grandes stars d'Hollywood. Certes il se moque de lui-même, mais il se moque aussi de ses admirateurs, et pourtant My name is Bruce leur est entièrement dédié. Une forte démonstration de la complicité qui réside entre l'acteur et ses afficionados, rare dans le petit monde du cinéma conventionnel, même d'épouvante. On retrouve plus aisément ce genre de relation privilégiée (sans mauvais jeu de mots) dans l'univers du cinéma pornographique...

Mais ne perdons pas de vue que, si Bruce Campbell est un acteur culte, c'est parce qu'il est associé directement à deux films cultes : Evil Dead et Evil Dead 2. Ces deux réalisations de Sam Raimi sont tellement novatrices dans leur ton comme dans leur forme, mélangeant l'horreur pure à la Lovecraft à des effets humoristiques totalement burlesques, jouant sur l'exagération, et même l'hystérie, dans une vaste orgie de zombies difformes et d'hémoglobine multicolore tapageuse, qu'elles ne pouvaient que susciter un engouement remarquable. Et la manière dont le personnage de Ash, interprété donc par Bruce Campbell, en prend résolument plein la tronche du début jusqu'à la fin de ces deux films, avait tout pour créer autour de lui un élan de sympathie sincère, mais sadique.

Le fan de Bruce Campbell aime le voir se faire ravager au-delà du raisonnable. Avec Sam Raimi, il est rarement déçu. Les trois Evil Dead proposent déjà une collection de coups, de cabrioles et de ramasse-tes-dents exceptionnelle. Ajouter à cela sa façon de se faire plier en deux dans Mort sur le grill, et vous avez une idée assez précise de la manière dont Raimi considère son ami en tant qu'acteur : une poupée que l'on tord, que l'on découpe, que l'on explose, que l'on noie, que l'on torture. A l'image de l'enfant pervers de Toy Story, se livrant à des greffes ou des expériences spationautiques douteuses sur la personne de pauvres jouets innocents. Raimi ne s'en est d'ailleurs jamais caché, et l'amitité qui lie les deux hommes lui permet d'autant plus de l'exprimer avec une franchise exceptionnelle.

Leur carrière ont, malgré l'amitié, suivi des chemins sensiblement différents. Sam Raimi, ainsi que tout le monde le sait, est devenu le réalisateur attitré des blockbusters que sont les Spiderman. Bruce Campbell, pour sa part, est majoritairement dévolu aux premiers rôles dans des séries B ou Z, ou aux rôles secondaires  (sinon anecdotiques) dans des films de plus grande exploitation. Si l'épouvante demeure son domaine de prédilection, il commet également des incartades dans d'autres genres, au hasard des contrats. On le voit ainsi dans le très mauvais Congo de Frank Marshall, ou dans la petite comédie de samedi soir qu'est Au service de Sarah, avec Matthew Perry en vedette. Il est également un habitué de téléfilms sans grand intérêt, comme Dangers publics (qui se veut une réadaptation du mythe de Bonnie and Clyde) ou le tristoune Project Tornado, une réalisation dont il dit avec dérision sur son site : « on a fait mieux que Twister en deux jours. » Etant donné la qualité de Twister, s'ils n'ont pas forcément fait mieux, il faut bien reconnaître qu'ils n'ont pas fait pire...

Bruce Campbell est étrangement sous-employé. Son image d'acteur de série Z ou d'éternel quatrième-rôle lui colle à la peau auprès des producteurs. Raimi n'avait déjà pas pu obtenir qu'il tienne le rôle-titre dans son Darkman. Et, pressenti pour interpréter le rôle de John Doggett dans la série X-Files, on lui préfèrera Robert Patrick. Dans les deux cas, on craignait qu'il ne soit pas capable de tenir la distance. J'ignore sur quoi se basent les producteurs pour émettre ce genre de jugement...

Parmi ses moments de gloire, outre les Evil Dead, on doit donc se rabattre sur sa participation dans le rôle d'un chirurgien esthétique déjanté au sein de Los Angeles 2013, ou sur les petits (minuscules, même) rôle de figuration qu'il interprète dans les trois Spiderman réalisés par Raimi. C'est triste à dire, mais c'est bel et bien cela que les promoteurs mettent en avant quand il s'agit de parler de Campbell : « l'homme qui figure dans Spiderman ». La logique grossière et grotesque du tout-au-dollar d'Hollywood n'est jamais aussi criante que dans ce genre de constats.

Peut-être est-ce pour cela qu'il s'est laissé tenter par la réalisation. J'aurais certainement l'occasion de reparler de My name is Bruce sur ce blog, donc je ne m'étendrai pas. Quant à son Man with the screaming brain, il faut bien admettre qu'il ne m'a pas laissé un souvenir mémorable. Comédie d'épouvante au titre qui rappelle certains classiques du cinéma de genre mexicain de la grande époque, le film manque cruellement de souffle et ne fait sourire que par indulgence. My name is Bruce, quoi qu'on en dise, est heureusement bien plus réussi. Espérons que le film sortira en dvd en France avant la fin du monde... 

Sympathique, accessible, drôle, ouvert et souriant, Bruce Campbell compte parmi les personnalités les plus attachantes du cinéma d'horreur. Mais ne perdons jamais de vue, surtout, que c'est un bon acteur. Même dans des réalisations déplorables comme Alien apocalypse, il maintient un niveau de jeu de grande qualité et rend presque le film regardable. C'est encore plus criant pour un téléfilm comme Terminal invasion, une oeuvre finalement assez prenante et agréable, qu'il porte sur ses épaules du début jusqu'à la fin.

Pour ses projets à venir, on annonce sa participation à un hypothétique Evil dead 4, sur lequel les informations sont sensiblement pauvres. Il sera également le producteur du remake d'Evil dead, annoncé pour 2010... Bref, Campbell revient aux sources. C'est peut-être une bonne nouvelle, peut-être pas. L'avenir nous le dira. L'avenir est un monstrueux cafteur qui finit toujours par tout nous dire. Mais de toute manière, Bruce Campbell n'a que 51 ans, alors gageons qu'il lui reste encore de belles années devant lui et, sait-on jamais, une belle carrière en perspective. L'homme peut au moins jouer de son image (ainsi qu'il le fait dans son ouvrage Make love ! the Bruce Campbell way) et compter sur ses fans.

Sur ce je vous dit à bientôt, et méfiez-vous si votre lampe de chevet se gondole de rire en vous regardant.

Heil to the King !
 
Partager cet article
Repost0
23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 00:40
 
La tradition veut qu'à la création d'un blog, le premier article soit consacré à sa présentation. Ça ne m'arrange que moyennement, je ne sais pas exactement ce que j'ai à présenter. J'ai décidé de créer ce blog pour parler d'une de mes passions, à savoir le cinéma d'horreur et d'épouvante. Je ne suis cependant pas bloqué que sur ce genre très spécifique, comme tout le monde je suis même sensiblement éclectique dans mes goûts, aimant tout autant le cinéma français des années 30, les comédies américaines des années 50, l'oeuvre de François Truffaut, celle de Woody Allen, et plein de ceteras en veux-tu en voila...

Alors me direz-vous : « Pourquoi un blog uniquement sur le cinéma d'horreur ? » Et je vous répondrais, d'une part, que la curiosité est un vilain défaut, et d'autre part que j'ai envie d'essayer de parler de ce cinéma-là d'une manière disons un petit peu différente de son traitement habituel. Je ne prétends pas révolutionner Internet, je vais même certainement, et sans le vouloir, me vautrer dans la convention la plus basique, mais disons que mon ambition est de parler des films que je vois ou revois en essayant d'exprimer ma vision d'une façon personnelle. De m'exprimer, quoi.

Ce blog, pour le moment, sera surtout un lieu de « critiques ». Il évoluera peut-être par la suite, mais disons que pour le moment je n'ai pas d'autres intentions que de commenter les films que j'aurai l'occasion de voir, et d'en dire ce que j'en pense, succinctement ou non selon les oeuvres. J'ignore si cela intéressera qui que ce soit, mais on ne sait jamais...

Pour conclure, je tiens d'emblée à vous rassurer au moins sur un point : l'esthétique actuelle du blog n'est que provisoire. Je n'avais simplement pas envie de me bloquer sur la forme, et de me refuser ainsi le droit d'aller directement au fond des choses, si fond il y a...

Voilà ce que je peux dire sur ce blog. Il en existe probablement des dizaines du même genre, sans parler des sites (parfois médiocres, parfois formidables) consacrés à ce cinéma si particulier et si enthousiasmant. Tant mieux. L'horreur et l'épouvante sont trop souvent décriés ou méprisés. Je pense donc sincèrement que chaque initiative, individuelle ou collective, est la bienvenue !

Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, je viens donc de me souhaiter à moi-même la bienvenue. Ça vous donne une idée du culot et de l'immodestie dont je suis capable de faire preuve.

Sur ce, en piste !
Partager cet article
Repost0